Petit crabe


Un petit crabe errait à l'aventure sur le sable blond de la baie. De grandes algues poussaient ici et là, rien d'intéressant pour qu'il puisse s'y cacher. Un gros poisson remarque le petit crabe.  "Petit crabe, je crois bien que j'ai trouvé l'amour, je veux rester près de toi, nous errerons ensemble." Et une grande valse s'ensuit, le petit crabe, heureux d'être aimé trottait dans l'ombre du poisson  majestueux. Plein d'attention, ce dernier préparait la nourriture et nettoyait la place, le petit crabe s'en trouvait bien. "Ah! que je suis bien avec toi, tu es mon ange",  susurrait-il  avant de s'endormir la nuit.  Ils se complétaient si bien et filaient le parfait bonheur tous les deux.

Les années ont passé et le poisson devint de plus en plus gros, en fait il devint énorme et le petit crabe, continuellement dans son ombre, ne percevait plus les rayons de lumière. "Mon ami, poisson, va un peu plus loin, et laisse-moi un peu de clarté, je m’ennuie, là dans ton ombre.  Je passe mon temps  à jouer avec les cailloux pour me consoler parce que je n'y voit plus clair!" Mais le poisson ne comprenais pas le petit crabe. "Je prends soin de notre nid, jour après jour, je décide ce qui est le mieux pour nous,  tu n'as qu'à me laisser faire, pourquoi es-tu malheureux?  Lâche les cailloux,  et écoute-moi, j'ai plein de beaux projets pour nous." 

Le petit crabe espérait seulement sortir de l'ombre du gros poisson et il voyait bien que ce dernier ne s'écarterait pas de lui même.  De temps à autre, il se servait de ses pinces pour l'éloigner et cela le rendait triste. Ensemble, ils ont cheminé dans plusieurs eaux, sur toute sorte de terrains, ils étaient présents l'un pour l'autre dans les moments difficiles. Le petit crabe espérait être là, près de son ange, lorsque la fin arriverait.

Le gros poisson, réalisait que le petit crabe était malheureux et s'exaspérait devant sa léthargie.  Il a bien tenté de lui faire comprendre que le soleil était là pour les deux, sans succès. Il avait entendu parlé d'un banc de poisson qui s'installait pas très loin de là et craignant que le petit crabe ne tombe malade ou qu'il parte pour d'autres cieux avant lui, le poisson décida de rejoindre le grand banc. 

Lorsque le petit crabe retrouva la lumière du jour, ébloui, seul, un peu paniqué, après autant d'années passées à l'ombre, il erra quelque temps sur le sable blond de la baie, de grandes algues poussaient ici et là, et finalement il trouva un petit rocher creux où se cacher et se reposer. Il ne jouait plus avec les cailloux, il préférait faire des bulles de chants qui se perdaient dans le bleu infini de la baie.  La nuit il sortait de sa cachette pour admirer les rayons de lune et il sentait la présence toute proche de son ami de longue date.  Avait-il entendu son chant?  Sûrement.

J'avais envie d'un peu de fantaisie, c'est une histoire qui me ressemble,  excusez là.

Bises XXX

Ah! ces japonais. . . . . . .



Pour promouvoir son dernier téléphone, le Touch Wood SH-08C, Sharp a fait appel à un dénommé Kenjiro Matsuo qui a réalisé cet incroyable xylophone géant. Construit dans une forêt quelque part sur l’île de Kyūshū au Japon, cet instrument hors du commun reprend le morceau Jésus, que ma joie demeure (Jesus bleibet meine Freude) du compositeur Jean-Sébastien Bach. Notons aussi qu’aucune musique de synthèse n’a été ajoutée et qu’il s’agit bel et bien des sons produits par le xylophone géant, qui fait un mille de long. Faut le faire . . . . . . . .






JOYEUSE ST-VALENTIN

JOYEUSE ST-VALENTIN

JE ME SUIS AMUSÉE AVEC MON ROXIO
LES IMAGES SONT DE MA CRÉATION, JE LES AI SORTIE DE MES ARCHIVES, C'EST FAIT VITE, EXCUSEZ LA!




SOIRÉE INOUBLIABLE

Hier soir, mon ami m'a amené au restaurant pour fêter la St-Valentin.  Nous sommes allés au
restaurant "Les Iles en villes" .  J'ai commandé le plat de loup-marin, une viande très tendre, avec un léger goût de foie de veau, accompagné de sauce au canneberges, c'était très bon.  Selon certaines études, cette  viande contient 15.2% d'acides gras (oméga 3 et oméga 6).  On gagnerait à manger du loup marin au lieu du bœuf.  Le prix du vin était raisonnable.  

Au programme, Denis Boudreau de Sept-Iles, madelinot d'origine,  c'est un gars super sympathique qui fait de la musique country acadienne. Il a brassé la baraque pendant près de trois heures, hier soir, il a aussi chanté du Corcoran, du Patrick Norman, du Joe Dassin, du Johnny Cash , du Chris de Burgh. . . . et ses propres compositions que l'on retrouve sur son album "Là ou j'ai grandi" sorti en 2008.









Denis Boudreau est aussi violoniste, il nous a fait une couple de Reel.  Écoutez le sur son violon.







On est bien loin là de la musique sacrée chantée à la Cathédrale, mais, à mes heures, je vibre au son de cette musique simple, sortie des triples de gens simples et si chaleureux que sont les acadiens.

Denis Boudreau, à la demande des dîneurs, nous a chanté un chant du répertoire traditionnel des Iles, je ne la connaissait pas mais les paroles sont simples et j'ai appris assez vite le refrain pour le chanter eux.   Sur le vidéo suivant, l'Hymne des madelinots pour accompagner ces beaux paysages des Iles






L'hymne des madelinots 

de Julie Daraiche


Moi, mes parents m'ont toujours dit
Que les îles de la Madeleine, c'est le paradis
Le soleil, le jour et la pluie, la nuit
Là-bas mes parents ont beaucoup d'amis




Refrain: 
Je voudrais être madelinots
Mais je ne peux pas, j'ai peur de l'eau
Pour traverser y'a le bateau
Je suis malade quand il fait pas beau




Ils ont dû quittés ce beau coin de terre
Pas de bon gré mais à cause de la guerre
Quand ils nous en parle ça les fait pleurer
Pour les consoler, je me dois de chanter

Je rêve un jour d'aller visiter
Ce beau coin de terre que mon père m'a laissé
Mais je ne pourrai pas y aller par bateau
Comme vous savez, je suis malade sur l'eau

Refrain: 


Vraiment je rêve de visiter les Iles de la madeleine cet été  . . . . .  Je voudrais être madelinot

En arrivant pour débarquer
Les Madelinots sont tous sur le quai
Ils vous regardent avec le sourire
Les bras tendus pour vous accueillir
Bises et bonne semaine à tous




Nuit Blanche à la Cathédrale

À la croisée du transept
Clip vidéo enregistré lors de la nuit blanche de 2011
Du 25 février 2012 à 20h au 26 février 2012

Cette année encore, le CPM (Choeur Polyphonique de Montréal) participera aux festivités de la Nuit Blanche dans le cadre du festival Montréal en lumière.

Pendant la nuit du 25 au 26 février 2012, la cathédrale-basilique Marie-Reine-du-Monde ouvrira ses portes aux festivaliers qui pourront entendre le CPM, auquel s’adjoindront plusieurs choristes de l’extérieur, chanter une sélection des pièces favorites de son répertoire. Bach, Fauré, Dubois, Haendel et d’autres grands compositeurs… une belle nuit musicale en perspective!

Rendez-vous donc à 20 h, à 22 h ou à minuit pour entendre le CPM, qui sera accompagné l’organiste titulaire de la cathédrale, Mme Hélène Dugal.

Correction de dernière minutes, il y aura trois représentations à 20 h, 21:30 h et 23:00 h

C'est gratuit!

1085 Rue de la Cathédrale, Montréal, QC H3B 2V3 (Station de métro Bonaventure, coin Mansfield et René-Lévesque)